Neil Young retire sa musique de Spotify, accusant la plateforme de désinformation sur le Covid
►https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/01/27/neil-young-met-sa-menace-a-execution-sa-musique-va-etre-retiree-de-spotify_6
Neil Young retire sa musique de Spotify, accusant la plateforme de désinformation sur le Covid
►https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/01/27/neil-young-met-sa-menace-a-execution-sa-musique-va-etre-retiree-de-spotify_6
Il l’a fait…
Le populaire Joe Rogan, dont le contrat signé avec Spotify en 2021 est estimé à 100 millions de dollars (89 millions d’euros)
À mettre en relation avec le documentaire d’Aude Favre là ►https://seenthis.net/messages/928612 et le mouvement Sleeping Giant : il FAUT vraiment faire pression pour démonétiser le maximum de contenus complotistes : ça se propage mille fois d’autant plus que ce créneau fait gagner un fric monstre à des centaines/milliers de gens.
Mais pour ça faut un désinvestissement massif, pas juste un ou deux, comme ce que cherche à faire BDS, pareil : faut désinvestir, démonétiser, les contenus complotistes, fachos, etc. Il ne faut pas que ce soit profitable. Il restera toujours les méga motivés, mais ça réduira forcément à mort la propagation.
A noter que Young retire ses albums mais qu’il n’a apparemment pas forcément les droits sur tous ses morceaux si ils apparaissent dans d’autres cadres (BOF, compils, live...) #droit_dauteur
Neil Young vend 50% des droits de sa musique pour 120 millions d’euros - DH Les Sports+
▻https://www.dhnet.be/medias/musique/neil-young-vend-50-des-droits-de-sa-musique-pour-120-millions-d-euros-5ff5c099
Le rockeur canadien Neil Young a vendu la moitié des droits de ses chansons au fonds d’investissement Hipgnosis Songs Fund, a rapporté mercredi la BBC. L’artiste de 75 ans a reçu 150 millions de dollars (120 millions d’euros) en échange de 50% des droits de 1.180 morceaux.
Bandcamp Fridays Return on February 4th
▻https://daily.bandcamp.com/features/bandcamp-fridays-update
On the first Friday of the month since March of 2020, we’ve waived our revenue share to help support the many artists who have seen their livelihoods disrupted by the pandemic. Over the course of 17 days, fans paid artists and labels more than $70 million dollars, helping cover rents, mortgages, groceries, medications, and much more. If you’re among the nearly 800,000 fans who participated, thank you.
It will likely be several months before live performance revenue returns in full. So we’re going to continue doing Bandcamp Fridays in 2022, on February 4th, March 4th, April 1st, and May 6th. As always, isitbandcampfriday.com has the details.
If you’ve started to feel guilty about buying music on any day other than Bandcamp Friday, here’s something to keep in mind: on #Bandcamp_Fridays, an average of 93% of your money reaches the artist/label (after payment processor fees). When you make a purchase on any other day of the month (as 2.5 million of you have since March, buying an additional $190 million worth of music and merch) an average of 82% reaches the artist/label. Every day is a good day to directly support artists on Bandcamp!
Julia Reda, eurodéputée du Parti Pirate, lance un appel – Framablog
►https://framablog.org/2018/04/18/julia-reda-eurodeputee-du-parti-pirate-lance-un-appel
Le projet de réforme du droit d’auteur provoque une forte inquiétude au sein des communautés de développeurs et développeuses de logiciels libres. Que restera-t-il de leur liberté de partager et modifier si obligation est faite aux forges logicielles de mettre en place des filtres de contenus ? L’eurodéputée Julia Reda nous indique les façons dont nous pouvons tous agir, dès maintenant.
Pauvre #Anne_Frank, victime des nazis d’abord, et des ayant-tous-les-droits maintenant....
▻http://rue89.nouvelobs.com/2015/12/29/mein-kampf-domaine-public-journal-danne-frank-262640
▻http://www.liberation.fr/futurs/2015/12/29/le-journal-d-anne-frank-sera-t-il-dans-le-domaine-public-vendredi_1423430
#domaine_public #droit_dauteur (en fait droit des ayant-droits) #copyright_madness
Pour ce qui est du droit d’auteur, un site intéressant : Romaine Lubrique.
►http://romainelubrique.org
Le 5 novembre2015 ils publiaient la mise en demeure ci-dessous de la part du Livre de Poche, filiale d’Hachette, suite à la mise en ligne illégale et assumée du Journal d’Anne Frank, et la suppression de la possibilité du téléchargement du journal.
►http://romainelubrique.org/journal-anne-frank-hachette
Domaine public, intérêts privés et gros bénéfices.
L’éditeur de textes est-il un auteur ? | Apocryphes
▻http://apocryphes.hypotheses.org/503
Le 27 mars 2014, le tribunal de grande instance de Paris rendait dans un différend opposant les maisons d’édition Libraire Droz et Classiques Garnier un jugement très rapidement commenté dans les milieux de la recherche érudite, d’une part, et dans ceux des spécialistes du droit d’auteur et du copyfraud, de l’autre. Éclairée entre autre par les opinions de spécialistes, la cour concluait que l’édition d’un texte dépourvu d’apparat critique ne pouvait fonder un droit d’auteur, tout en reconnaissant par ailleurs la contribution intellectuelle de l’éditeur.
Au-delà du cas d’espèce, ce jugement est une excellente occasion de s’interroger sur ce qu’est l’édition de textes, notamment celle de textes anciens, et sur ses mutations. Ce secteur des activités historiques et littéraires s’est, du reste, déjà engagé dans cette réflexion, comme le montrait un récent colloque organisé par l’Institut historique allemand et l’École des chartes sur le thème « Pourquoi éditer des textes médiévaux au xxie siècle ? » De ce point de vue, l’évolution de l’édition critique, tout comme celle des sciences humaines et sociales en général, a bien sûr été fortement affectée par l’irruption des « nouvelles technologies », puis l’apparition des humanités numériques, en pleine structuration.
INIST : la fin de RefDoc | Droits d’auteur
▻http://droitsdauteur.wordpress.com/2013/12/14/inist-la-fin-de-refdoc
Le 11 décembre, un arrêt de la cour de cassation confirme la condamnation de l’INIST.