30 ans plus tard, l’abruti de droite n’a pas changé ses méthodes éducatives...
▻https://www.la-croix.com/amp/547057
Durant les grandes manifestations lycéennes et étudiantes au cours desquelles le jeune Malik Oussekine trouve la mort, il aura cette phrase malheureuse : « Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit ».