• ¿Cuáles son las incidencias más recientes del coronavirus en América Latina? › Cuba frente a la Covid-19 › Granma - Órgano oficial del PCC
    http://www.granma.cu/cuba-covid-19/2020-03-22/cuales-son-las-incidencias-mas-recientes-del-coronavirus-en-america-latina


    Foto: Tomada de Internet

    En América Latina: Brasil, Ecuador y Perú son los países más afectados por coronavirus hasta la fecha

    Hasta este domingo la pandemia del coronavirus había dejado un saldo de al menos 50 personas fallecidas en la América Latina.

    Desde la confirmación del primer caso del coronavirus en Brasil, varios gobiernos latinoamericanos han decretado la cuarentena y fortalecido las medidas sanitarias para evitar la propagación del virus.

    En la región Brasil es el país más afectado por el Covid-19 al reportar hasta el sábado al menos 18 muertos y 1128 contagios.

    El Gobierno brasileño dijo que como ya fue admitida la transmisión local y comunitaria del virus por lo que ahora todos los casos de pacientes con síntomas de la enfermedad pasan a ser considerados sospechosos, por lo que ya no tiene sentido divulgar ese número.

    Con siete muertos y al menos 506 contagios, Ecuador es el segundo país con más cantidad de muertos por el virus en América Latina.

  • La Bolivie (19 cas confirmés, pas de décès) décrète la quarantaine générale et reporte les élections présidentielles à une date ultérieure

    Bolivia suspende hasta nuevo aviso elecciones presidenciales (+Video) › Cuba frente a la Covid-19 › Granma - Órgano oficial del PCC
    http://www.granma.cu/cuba-covid-19/2020-03-22/bolivia-suspende-hasta-nuevo-aviso-elecciones-presidenciales-por-la-pandemia-


    Foto: Tomada de Internet

    El Gobierno de facto boliviano declaró este sábado la cuarentena total, la cual entra en vigencia desde este domingo y durará 14 días, como medida extrema para combatir la pandemia del nuevo coronavirus

    El Tribunal Supremo Electoral (TSE) de Bolivia, anunció este sábado la suspensión del calendario de elecciones debido a la cuarentena total decretada por el Gobierno de facto ante el nuevo coronavirus, y por tanto los comicios presidenciales previstos para el 3 de mayo.

    El presidente de la Corte Suprema Electoral, Salvador Romero, señaló que la nueva fecha de los comicios deberá fijarse «con sustento técnico», asimismo, reiteró que deberá realizarse teniendo en cuenta valoraciones científicas sobre la evolución de la pandemia. «Debe acogerse sin sesgos a favor o en contra de ninguna organización política o candidatura», añadió.
    […]
    Por el momento, las autoridades sanitarias informaron que en el país se confirman 19 casos de contagio y ningún deceso.

    De cara a los comicios, el Movimiento Al Socialismo (MAS), se perfila como el favorito a ocupar la presidencia, vicepresidencia y la mayoría de los escaños en el Asamblea Plurinacional.

  • El tren bioceánico que conectará a Sudamérica › Mundo › Granma - Órgano oficial del PCC
    http://www.granma.cu/mundo/2017-08-08/el-tren-bioceanico-que-conectara-a-sudamerica-08-08-2017-20-08-12

    El Canal de Panamá del siglo XXI es un ferrocarril
    Bautizado por Evo Morales como el Canal de Panamá del siglo XXI, el tren bioceánico que prevé construir Bolivia, enlazará al Atlántico y al Pacífico: con punto de partida en el puerto de Santos (Brasil), surcará territorio boliviano y llegará hasta Ilo (Perú), para un recorrido de 3 700 kilómetros.

    Este megaproyecto de la ingeniería civil podrá favorecer a más de la mitad de los países sudamericanos. Entre ellos, el Estado Plurinacional y Paraguay, ante su circunstancia de carecer de litoral, obtendrían notables beneficios.

  • Un mal mystérieux frappe les diplomates américains à #Cuba
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2017/08/11/un-mal-mysterieux-frappe-les-diplomates-americains-a-cuba_5171328_3222.html

    Il pourrait s’agir du début d’un vieux roman d’espionnage. Aux derniers mois de la présidence de Barack Obama, qui restera dans l’Histoire pour avoir rétabli les relations diplomatiques avec Cuba, un mal mystérieux affecte soudainement des fonctionnaires américains en poste sur l’île, suffisamment grave pour entraîner discrètement leur rapatriement. Alertées le 17 février, les autorités cubaines nient toute implication et offrent leurs services pour tenter d’élucider cette énigme.

    Cette bonne volonté ne convainc pas Washington. Le 23 mai, tout aussi secrètement, deux diplomates cubains présents dans la capitale fédérale sont priés de quitter les Etats-Unis. Le 16 juin, annonçant un refroidissement des relations avec Cuba devant les exilés anticastristes installés à Miami, Donald Trump se garde pourtant de mentionner l’affaire, qui n’a été révélée et confirmée par le département d’Etat que le mercredi 9 août.

    De quoi exactement ont souffert les diplomates ? Peu loquace sur le sujet, la porte-parole Heather Nauert s’est bornée à évoquer jeudi une « série de troubles physiques », ajoutant ne disposer d’aucune « réponse définitive sur la source ou la cause de ce que nous considérons être des incidents ». Une arme acoustique utilisant des infrasons est évoquée.

    Moins cachottier, le gouvernement canadien, également concerné, a évoqué le même jour la perte d’audition d’un de ses diplomates en poste à La Havane.

  • Peut-être son dernier discours :

    Le Frère Obama
    Fidel Castro Ruz, Granma, le 28 mars 2016
    http://www.granma.cu/reflexiones-fidel/2016-03-28/el-hermano-obama-28-03-2016-01-03-16
    http://fr.granma.cu/articles-et-reflexions-de-fidel/2016-03-28/le-frere-obama
    http://en.granma.cu/cuba/2016-03-28/brother-obama

    Les populations autochtones n’existent en rien dans l’esprit d’Obama.

    J’avais quand même pu obtenir des informations sur ce qui avait trait à ce genre d’armes et sur l’aide que l’Afrique du Sud raciste avait obtenue de Reagan et d’Israël.

    Il est à supposer que chacun d’entre nous a frôlé l’infarctus en écoutant ces paroles du Président des États-Unis.

    J’avertis en outre que nous sommes capables de produire des aliments et les richesses matérielles dont nous avons besoin grâce aux efforts et à l’intelligence de notre peuple. Nous n’avons pas besoin que l’empire nous fasse cadeau de quoi que ce soit. Nos efforts seront légaux et pacifiques, parce que tel est notre engagement envers la paix et la fraternité de tous les êtres humains qui vivons sur cette planète.

    #Fidel_Castro #Cuba #Etats-Unis #Barack_Obama mais aussi
    #Angola #Afrique_du_Sud et #Israel

    • Ah non, le dernier c’est celui ci:

      L’anniversaire
      Fidel Castro, Granma, le 12 août 2016
      http://fr.granma.cu/articles-et-reflexions-de-fidel/2016-08-15/lanniversaire

      C’est ainsi qu’a commencé ma vie. J’écrirai peut-être, si j’en ai le temps, sur ce sujet. Excusez-moi de ne pas l’avoir fait jusqu’à présent, mais j’ai des idées sur ce que l’on peut et doit enseigner à un enfant. Je considère que le manque d’éducation est le pire tort que l’on puisse lui faire.

      De nos jours, l’espèce humaine fait face au plus grand risque de son histoire. Les spécialistes de ces questions sont ceux qui peuvent faire le plus pour les habitants de cette planète, dont le nombre est passé d’un milliard à la fin de 1800 à sept milliards au début de 2016. Combien y en aura-t-il sur notre planète dans quelques années ?

      Les scientifiques les plus brillants, qui sont déjà plusieurs milliers, sont ceux qui peuvent répondre à cette question et à beaucoup d’autres de grande importance.

      Les moyens techniques modernes ont permis de scruter l’univers. De grandes puissances comme la Chine et la Russie ne sauraient être soumises aux menaces de leur imposer l’utilisation des armes nucléaires. Ce sont des peuples d’un grand courage et d’une grande intelligence. Je considère que le discours du président des États-Unis au Japon a manqué de hauteur lors de sa visite au Japon et les mots lui ont manqué pour s’excuser pour le massacre de centaines de milliers de personnes à Hiroshima, alors qu’il était au courant des effets de la bombe. L’attaque de Nagasaki fut également criminelle, une ville que les maîtres de la vie choisirent au hasard. C’est pour cela qu’il nous faut marteler l’idée de la nécessité de préserver la paix et qu’aucune puissance ne s’arroge le droit de tuer des millions d’êtres humains.

  • Fidel Castro rompt son silence - Libération
    http://www.liberation.fr/monde/2015/01/27/fidel-castro-rompt-son-silence_1189552

    L’ex-président cubain Fidel Castro a rompu lundi un silence de plusieurs mois en confiant dans une lettre : « Je n’ai pas confiance dans la politique des Etats-Unis, et je n’ai échangé aucun mot avec eux, mais cela ne signifie à aucun moment un rejet d’une solution pacifique aux conflits », a déclaré l’ex-chef d’Etat de 88 ans dans un courrier adressé à une fédération étudiante et lu sur l’antenne de la télévision d’Etat.

    #cuba

    • Texte complet sur Granma (évidemment !)
      (ça doit être lui : il n’a jamais su faire court ;-)

      Para mis compañeros de la Federación Estudiantil Universitaria › Cuba › Granma - Órgano oficial del PCC
      http://www.granma.cu/cuba/2015-01-26/para-mis-companeros-de-la-federacion-estudiantil-universitaria

      Queridos compañeros:

      Desde el año 2006, por cuestiones de salud incompatibles con el tiempo y el esfuerzo necesario para cumplir un deber —que me impuse a mí mismo cuando ingresé en esta Universidad el 4 de septiembre de 1945, hace 70 años—, renuncié a mis cargos.

      No era hijo de obrero, ni carente de recursos materiales y sociales para una existencia relativamente cómoda; puedo decir que escapé milagrosamente de la riqueza. Muchos años después, el norteamericano más rico y sin duda muy capaz, con casi 100 mil millones de dólares, declaró ―según publicó una agencia de noticias el pasado jueves 22 de enero—, que el sistema de producción y distribución privilegiada de las riquezas convertiría de generación en generación a los pobres en ricos.

      Desde los tiempos de la antigua Grecia, durante casi 3 mil años, los griegos, sin ir más lejos, fueron brillantes en casi todas las actividades: física, matemática, filosofía, arquitectura, arte, ciencia, política, astronomía y otras ramas del conocimiento humano. Grecia, sin embargo, era un territorio de esclavos que realizaban los más duros trabajos en campos y ciudades, mientras una oligarquía se dedicaba a escribir y filosofar. La primera utopía fue escrita precisamente por ellos.

      Observen bien las realidades de este conocido, globalizado y muy mal repartido planeta Tierra, donde se conoce cada recurso vital depositado en virtud de factores históricos: algunos con mucho menos de los que necesitan; otros, con tantos que no hayan que hacer con ellos. En medio ahora de grandes amenazas y peligros de guerras reina el caos en la distribución de los recursos financieros y en el reparto de la producción social. La población del mundo ha crecido, entre los años 1800 y 2015, de mil millones a siete mil millones de habitantes. ¿Podrán resolverse de esta forma el incremento de la población en los próximos 100 años y las necesidades de alimento, salud, agua y vivienda que tendrá la población mundial cualquiera que fuesen los avances de la ciencia?

      Bien, pero dejando a un lado estos enigmáticos problemas, admira pensar que la Universidad de La Habana, en los días en que yo ingresé a esta querida y prestigiosa institución, hace casi tres cuartos de siglo, era la única que había en Cuba.

      Por cierto, compañeros estudiantes y profesores, debemos recordar que no se trata de una, sino que contamos hoy con más de cincuenta centros de Educación Superior repartidos en todo el país.

      Cuando me invitaron ustedes a participar en el lanzamiento de la jornada por el 70 aniversario de mi ingreso a la Universidad, lo que supe sorpresivamente, y en días muy atareados por diversos temas en los que tal vez pueda ser todavía relativamente útil, decidí descansar dedicándole algunas horas al recuerdo de aquellos años.

      Me abruma descubrir que han pasado 70 años. En realidad, compañeros y compañeras, si matriculara de nuevo a esa edad como algunos me preguntan, le respondería sin vacilar que sería en una carrera científica. Al graduarme, diría como Guayasamín: déjenme una lucecita encendida.

      En aquellos años, influido ya por Marx, logré comprender más y mejor el extraño y complejo mundo en que a todos nos ha correspondido vivir. Pude prescindir de las ilusiones burguesas, cuyos tentáculos lograron enredar a muchos estudiantes cuando menos experiencia y más ardor poseían. El tema sería largo e interminable.

      Otro genio de la acción revolucionaria, fundador del Partido Comunista, fue Lenin. Por eso no vacilé un segundo cuando en el juicio del Moncada, donde me permitieron asistir, aunque una sola vez, declaré ante jueces y decenas de altos oficiales batistianos que éramos lectores de Lenin.

      De Mao Zedong no hablamos porque todavía no había concluido la Revolución Socialista en China, inspirada en idénticos propósitos.

      Advierto, sin embargo, que las ideas revolucionarias han de estar siempre en guardia a medida que la humanidad multiplique sus conocimientos.

      La naturaleza nos enseña que pueden haber transcurrido decenas de miles de millones de años luz y la vida en cualquiera de sus manifestaciones está siempre sujeta a las más increíbles combinaciones de materia y radiaciones.

      El saludo personal de los Presidentes de Cuba y Estados Unidos se produjo en el funeral de Nelson Mandela, insigne y ejemplar combatiente contra el Apartheid, quien tenía amistad con Obama.

      Baste señalar que ya en esa fecha, habían trascurrido varios años desde que las tropas cubanas derrotaran de forma aplastante al ejército racista de Sudáfrica, dirigido por una burguesía rica y con enormes recursos económicos. Es la historia de una contienda que está por escribirse. Sudáfrica, el gobierno con más recursos financieros de ese continente, poseía armas nucleares suministradas por el Estado racista de Israel, en virtud de un acuerdo entre este y el presidente Ronald Reagan, quien lo autorizó a entregar los dispositivos para el uso de tales armas con las cuales golpear a las fuerzas cubanas y angolanas que defendían a la República Popular de Angola contra la ocupación de ese país por los racistas. De ese modo se excluía toda negociación de paz mientras Angola era atacada por las fuerzas del Apartheid con el ejército más entrenado y equipado del continente africano.

      En tal situación no había posibilidad alguna de una solución pacífica. Los incesantes esfuerzos por liquidar a la República Popular de Angola para desangrarla sistemáticamente con el poder de aquel bien entrenado y equipado ejército, fue lo que determinó la decisión cubana de asestar un golpe contundente contra los racistas en Cuito Cuanavale, antigua base de la OTAN, que Sudáfrica trataba de ocupar a toda costa.

      Aquel prepotente país fue obligado a negociar un acuerdo de paz que puso fin a la ocupación militar de Angola y el fin del Apartheid en África.

      El continente africano quedó libre de armas nucleares. Cuba tuvo que enfrentar, por segunda vez, el riesgo de un ataque nuclear.

      Las tropas internacionalistas cubanas se retiraron con honor de África. Sobrevino entonces el Periodo Especial en tiempo de paz, que ha durado ya más de 20 años sin levantar bandera blanca, algo que no hicimos ni haremos jamás.

      Muchos amigos de Cuba conocen la ejemplar conducta de nuestro pueblo, y a ellos les explico mi posición esencial en breves palabras.

      No confío en la política de Estados Unidos ni he intercambiado una palabra con ellos, sin que esto signifique, ni mucho menos, un rechazo a una solución pacífica de los conflictos o peligros de guerra. Defender la paz es un deber de todos. Cualquier solución pacífica y negociada a los problemas entre Estados Unidos y los pueblos o cualquier pueblo de América Latina, que no implique la fuerza o el empleo de la fuerza, deberá ser tratada de acuerdo a los principios y normas internacionales. Defenderemos siempre la cooperación y la amistad con todos los pueblos del mundo y entre ellos los de nuestros adversarios políticos. Es lo que estamos reclamando para todos.

      El Presidente de Cuba ha dado los pasos pertinentes de acuerdo a sus prerrogativas y las facultades que le conceden la Asamblea Nacional y el Partido Comunista de Cuba.

      Los graves peligros que amenazan hoy a la humanidad tendrían que ceder paso a normas que fuesen compatibles con la dignidad humana. De tales derechos no está excluido ningún país.

      Con este espíritu he luchado y continuaré luchando hasta el último aliento.

      La dernière lettre publiée précédemment date du 11/1/15 et était adressée à Diego Maradona, lequel se serait écrié (comme @monolecte ;-) Mince, alors, il est vivant !
      http://www.eltiempo.com/mundo/latinoamerica/fidel-castro-envio-carta-reciente-a-maradona-segun-telesur/15087397


      ¡Fidel está vivo ! es la frase que acompaña a esta fotografía, compartida por Telesur.

  • Cuba donne l’exemple dans la lutte contre Ebola
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/10/18/cuba-donne-l-exemple-dans-la-lutte-contre-ebola_4508408_3244.html

    En dépit de ses difficultés économiques et de ses maigres moyens, Cuba s’est projeté à l’avant-garde de la lutte contre le virus Ebola en dépêchant un important contingent de personnel soignant en Afrique de l’Ouest au moment où les grandes nations laissent généralement la main aux humanitaires.

    Perpétuant sa tradition médicale internationaliste, un contingent de 165 médecins et personnels de santé cubains est parti début octobre vers la Sierra Leone, alors que 296 autres personnels sont attendus prochainement au Liberia et en Guinée voisins. Les effectifs médicaux cubains constituent le plus grand contingent dépêché par un Etat pour combattre Ebola.

    Cette initiative est largement saluée par l’ONU, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et plusieurs associations humanitaires, alors que les grandes nations se contentent actuellement de contributions financières et de mesures de protection frontalières. Sur le terrain, ils laissent les humanitaires et agences onusiennes tenter de juguler l’épidémie, à l’exception notable des Etats-Unis qui ont dépêché sur place une aide militaire d’envergure (4 000 soldats prévus).

    Rompant avec l’habituel ton peu amène envers Cuba, le secrétaire d’Etat américain John Kerry a lui-même adressé vendredi des remerciements à Cuba pour son aide dans la lutte internationale contre le virus.

    Selon le dernier bilan de l’OMS, la fièvre hémorragique a fait 4 555 morts sur 9 216 cas enregistrés dans sept pays (Liberia, Sierra Leone, Guinée, Nigeria, Sénégal, Espagne et Etats-Unis), et l’organisation onusienne craint une envolée du nombre de contaminations.

    « La tâche de ceux qui partent combattre Ebola pour la survie d’autres êtres humains est difficile, au péril même de leur propre vie », dramatisait le 4 octobre l’ex-président Fidel Castro dans la presse locale. Depuis 1960, date à laquelle Cuba avait envoyé pour la première fois un contingent de médecins après un tremblement de terre au Chili, le régime communiste des frères Fidel et Raul Castro a dépêché pas moins de 135 000 effectifs médicaux à travers le monde.

    Aujourd’hui encore, quelque 50 000 médecins et personnels de santé effectuent des « missions » dans 66 pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie, selon le ministère cubain de la Santé. Depuis la chute du bloc soviétique, l’aide dans le secteur de la santé a été l’une des clés de voûte de la diplomatie cubaine, visant généralement les pays en développement et ses partenaires privilégiés. A partir de 2004, Cuba a commencé à facturer ses services aux pays récepteurs, procurant à l’île communiste une de ses principales sources de revenus.

    L’Amérique latine, pour l’heure épargnée par l’épidémie, pourrait ne pas l’être très longtemps, alors que l’OMS craint un décuplement des nouveaux cas d’ici la fin de l’année. Des cas suspects ont été enregistrés au Brésil et au Chili.

    • Tiens, le texte a été modifié. Le scandaleux

      « La tâche de ceux qui partent combattre Ebola pour la survie d’autres êtres humains est difficile, au péril même de leur propre vie », dramatisait le 4 octobre l’ex-président Fidel Castro dans la presse locale.

      présent dans l’extrait ci-dessus est devenu un plus neutre

      « La tâche de ceux qui partent combattre Ebola pour la survie d’êtres humains, au péril même de leur propre vie, est difficile », déclarait le 4 octobre l’ex-président Fidel Castro dans la presse locale.

      Comme si c’était le genre des médias occidentaux de dramatiser les efforts des ONG occidentales…

      Comme pour tout ce qui concerne Cuba au Monde, il faut certainement voir dans la formulation initiale la touche caractéristique de Paulo… (Paranagua)

    • Les deux dépêches AFP à partir desquelles Le Monde a concocté son article.

      AFP.com — 12/09/14
      http://www.afp.com/fr/info/ebola-cuba-deploie-une-nouvelle-fois-son-armee-en-blouse-blanche

      Depuis 1960, date à laquelle Cuba avait envoyé pour la première fois un contingent de médecins après un tremblement de terre au Chili, le régime communiste des frères Fidel et Raul Castro a dépêché pas moins de 135.000 effectifs médicaux à travers le monde.
      Aujourd’hui encore, quelque 50.000 médecins et personnels de santé effectuent des « missions » dans 66 pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie, selon le ministère cubain de la Santé.

      Et,

      Fidel Castro propose de collaborer avec les Etats-Unis dans la lutte contre le virus Ebola | AFP.com — 18/10/14
      http://www.afp.com/fr/node/2958022

      En dépit de ses difficultés économiques et de ses maigres moyens, Cuba s’est projeté à l’avant-garde de la lutte contre le virus Ebola en envoyant le 1er octobre 165 professionnels de santé en Afrique auxquels viendront s’ajouter des renforts les jours prochains.
      Castro a affirmé qu’envoyer des médecins cubains en Afrique fut une décision plus difficile à prendre qu’envoyer des soldats combattre en Angola (1976-1990).
      « Les décisions politiques qui entraînent des risques pour le personnel (...) impliquent un haut niveau de responsabilité (...) c’est même plus dur que d’envoyer des soldats au front », a-t-il affirmé.
      Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a adressé vendredi de très rares remerciements à Cuba pour son aide dans la lutte internationale contre le virus Ebola, les deux pays ayant depuis un demi-siècle des relations exécrables.
      Il est extrêmement rare que le gouvernement américain s’exprime publiquement en des termes amènes à l’égard de Cuba.

      Et l’article, daté du 17/10/14 au soir, de Fidel, dans Granma

      La hora del deber › Cuba › Granma - Órgano oficial del PCC
      http://www.granma.cu/cuba/2014-10-18/la-hora-del-deber

      Cualquier persona consciente sabe que las decisiones políticas que entrañan riesgos para el personal, altamente calificado, implican un alto nivel de responsabilidad por parte de quienes los exhortan a cumplir una peligrosa tarea. Es incluso más duro todavía que la de enviar soldados a combatir e incluso morir por una causa política justa, quienes también lo hicieron siempre como un deber.

      El personal médico que marcha a cualquier punto para salvar vidas, aun a riesgo de perder la suya, es el mayor ejemplo de solidaridad que puede ofrecer el ser humano, sobre todo cuando no está movido por interés material alguno. Sus familiares más allegados también aportan a tal misión una parte de lo más querido y admirado por ellos. Un país curtido por largos años de heroica lucha puede comprender bien lo que aquí se expresa.

      Todos comprendemos que al cumplir esta tarea con el máximo de preparación y eficiencia, se estará protegiendo a nuestro pueblo y a los pueblos hermanos del Caribe y América Latina, y evitando que se expanda, ya que lamentablemente se ha introducido y podría extenderse en Estados Unidos, que tantos vínculos personales e intercambios mantiene con el resto del mundo. Gustosamente cooperaremos con el personal norteamericano en esa tarea, y no en búsqueda de la paz entre los dos Estados que han sido adversarios durante tantos años sino, en cualquier caso, por la Paz para el Mundo, un objetivo que puede y debe intentarse.

      … avec sa signature.

      EDIT : deuxième occurrence ici d’un lien vers Granma !

  • http://www.granma.cu/idiomas/ingles/ouramerica-i/29may-What+is%20the.html

    In a tactical shift toward Bolivia, the U.S. State Department has sent Jefferson Brown to the country, indicating a likely increase in subversive activity against the Morales government. He was apparently sent to clean house, and replace all embassy personnel in preparation for the July arrival of a new attaché, Peter Brennan, an uncommon diplomatic practice.

    It appears that the White House has decided to make a turn - for the worse - in its relations with Bolivia. After removing Larry Memmott, considered a dove in U.S. secret services circles, the State Department has sent Jefferson Brown, as interim business attaché, who will remain on the job only through June, before handing over the position to the much more experienced hawk, Peter Brennan.

    #bolivie #morales #eeuu