Un arsenal sanitaire large pour en finir avec la pandémie et prévenir les suivantes – RogueESR

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  • Non-vaccinés : « Le profil-type, c’est la personne âgée isolée » - Arrêt sur images
    https://www.arretsurimages.net/emissions/arret-sur-images/non-vaccines-le-profil-type-cest-la-personne-agee-isolee

    Emmanuel Macron a "très envie de les emmerder". Depuis la rentrée, les non-vaccinés sont au cœur des débats dans la lutte sanitaire contre le Covid-19 et son variant Omicron. Ils étaient ainsi, en décembre dernier, plus de cinq millions à ne pas avoir entamé leur parcours de vaccination. Les non-vaccinés sont pointés du doigt par le gouvernement, et le corps médical observe qu’ils occupent au moins la moitié, et parfois plus, des lits dans les services de réanimation, retardant certaines interventions chirurgicales nécessitant un accès à la réa. Le Monde et Libération ont décortiqué les différents chiffres à ce sujet ("[...] les non-vaccinés, bien qu’aujourd’hui neuf fois moins nombreux dans la population adulte que les [vaccinés], représentent une part équivalente ou plus importante, en valeur absolue, dans les admissions (ou dans les lits occupés) en réanimation, ou en soins critiques au sens large, écrit Libération). Ils sont par ailleurs souvent confondus, notamment par Emmanuel Macron dans son interview pour le Parisien, avec les « antivax », critiqués pour leur adhésion aux thèses complotistes ou les violences commises contre des élus. 

    Mais qui sont les non-vaccinés ? Quels sont leurs arguments ? Sont-ils les bouc-émissaires médiatiques de la crise du Covid ? nous allons en discuter aujourd’hui avec nos invités : Bruno Andreotti, physicien, professeur à l’université de Paris, qui a travaillé sur la physique des aérosols, au cœur des questionnements sur la circulation du Covid et signataire d’une tribune parue le 12 janvier dans Libération, qui appelle à la mise en place d’un arsenal sanitaire complet, dont la vaccination universelle, pour sortir de la crise https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir ; Barbara Stiegler, professeur de philosophie à l’université Bordeaux Montaigne, vice-présidente du comité d’éthique du CHU de Bordeaux et membre du conseil de surveillance de l’agence régionale de santé de la région Nouvelle-Aquitaine ; et enfin François Alla, médecin, professeur de santé publique, et chef du service prévention du CHU de Bordeaux, qui a notamment travaillé avec Barbara Stiegler pour la rédaction de son tract paru chez Gallimard, De la démocratie en pandémie.

    #Bruno_Andreotti #non-vaccinés #Covid-19 #Omicron #vaccination_universelle #pharmaco-vigilance

    • Stiegler : il y a des effets secondaires, cardiaques, neurologiques, c’est documenté, et même les laboratoires le reconnaissent, hormonaux et plus généralement d’inflammation

      Andreotti : Epiphare montre que le tiers des hospitalisés n’ont pas de commorbidité ; le covid long aux dommages non pulmonaires doit être pris en compte et pas seulement les décès, les réas, et les hospitalisations.

      Stiegler : le vaccin dégrade les endométrioses (...) à la télé on voit des malades du covid mais pas les malades des effets secondaires du vaccin. il y a une sous déclaration, c’est infaisable de déclarer ces effets secondaires, je peux faire témoigner des soignants qui ont du y renoncer.
      je me réjouis de pouvoir parler sur une chose qui soit pas le mark-web [youtube ? ndc]

      Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      Stiegler se dit d’accord pour les masques la ventilation et la purification de l’air et passe à... l’oxygénation précoce, les traitements dont certains (?) vont bien, mais de tout ça ils n’en parlent pas car ils veulent de l’innovation, du solutionnisme technologique.

      Andreotti ne relève pas, à nouveau, et évoque des groupes d’arpenteurs de santé, mais évoqués nulle part. remettre de l’humain à la place des call center qui ne marchent pas.

    • Andreotti est l’un des initiateurs de l’appel « rogue » et il a une bonne maîtrise des connaissances sur la pandémie, pas seulement sur l’aérosolisation. mais effectivement le plateau est déséquilibré en faveur d’un Geta Barrington aux dehors humanistes (hallucinant la magouille de Stiegler qui dit que cela sera possible de signer un apple à Andreotti, alors qu’elle a signé avec Fouché ailleurs), et du fait d’un journaliste qui touche pas trop sa bille, en plus de rarement donner la parole à Andreotti, trop poli pour la prendre (comme dans le talk show lundi soir, les minoritaires qui sont là pour attester du pluralisme du dispositif s’autocensurent).

      Stiegler éthique, déontologie and so on. c’est pas à cause du covid que l’hôpital s’effondre, regardez, on peut même pas affronter une épidémie de bronchiolite.

      edit Contre l’imposture et le pseudo-rationalisme
      Renouer avec l’éthique de la disputatio et le savoir comme horizon commun, Bruno Andreotti, Camille Noûs
      https://www.cairn.info/revue-zilsel-2020-2-page-15.htm

      Dans cet entretien, il me semble qu’assistée de son collaborateur, Stiegler, cherche un accord avec Andreotti sur l’essentiel : le vaccin n’est pas la panacée, le non pharmaceutique compte, le « social » compte pas pour des prunes (aller vers ≠ visio, doctolib, relation de soin sans relation), ce qui permet de glisser des trucs pas clairs, qui ne sont pas mis en cause. On dira que je suis parano, mais selon moi, ça sent la magouille.

      #Barbara_Stiegler

    • Alla : on cache les effets secondaires réels ou supposés. c’est une stratégie.

      « La suppression du site (blog) du CTIAP entraîne, de façon mécanique, l’arrêt de l’étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) lancée dans la région des Pays-de-la Loire à la demande de professionnels de santé, juristes, citoyens, etc.
      Avec regret. »
      https://twitter.com/ctiap_cholet/status/1484875424526123011?cxt=HHwWhoCy6ZqVq5spAAAA
      Quelques rappels de cette étude sur les effets indésirables (concernant les vaccins c/ la Covid-19) qui est mécaniquement arrêtée suite à la suppression du site (blog) du CTIAP.
      https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-covid-19-une-initiative-pour-renforcer-la-surveillance-des-effet

      Des professionnels de santé veulent encourager les personnes confrontées à des effets indésirables survenus après le vaccin contre la Covid-19, à les signaler. La démarche est coordonnée par le responsable de la pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet. Sans le soutien de l’établissement.

      Les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 sont-ils sous-évalués ? Alors que se multiplient les recommandations en faveur du rappel et de l’élargissement de la vaccination face à la reprise épidémique, certains continuent de le penser.

      Problèmes hépathiques, cardiaques, urinaires, immunitaires, respiratoires, vasculaires... Au 25 novembre, dernier relevé officiel public en date de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), 116397 cas d’effets indésirables dont 24% qualifiés de graves avaient été enregistrés pour un total de 104 009 500 injections. ( tous vaccins confondus ) soit un taux de 0.11%.

      Un chiffre qui interroge certains médecins je n’ai pas la suite...

    • des interprétations centrifuges qui rejettent non seulement les (demi-)mesures du gouvernement, mais aussi la pandémie elle-même. A leurs yeux, si les Etats se servent de la pandémie comme prétexte pour renforcer leur emprise autoritaire sur la société, cela prouve que la pandémie n’existe pas[14]. Ou bien, si cette pandémie existe bel et bien, elle n’est dangereuse que pour un faible pourcentage de la population déjà vulnérable. Le plus souvent, cette catégorie désignait systématiquement (et à tort) un groupe d’âge spécifique[15]. De ce point de vue, il n’y avait apparemment d’autre raison que l’autoritarisme pour imposer quelque mesure horizontale que ce soit. La forte contagiosité du nouveau virus, ses risques et sa considérable létalité se sont ainsi transformés sur le plan conceptuel en un problème simple, gérable et facile à résoudre pourvu qu’on « protège » les personnes âgées vulnérables (déjà structurellement délaissées), c’est-à-dire qu’on les retire de notre champ de vision. Toute autre mesure, selon les négationnistes, ne saurait avoir d’autre but que d’élargir le périmètre de contrôle et de discipline de l’Etat.

      https://antithesi.gr/?page_id=977

  • Critiques de la gestion dite sanitaire et libéralisme militant - suivie de la - Tribune du collectif RogueESR : « Un arsenal sanitaire large pour en finir avec la pandémie et prévenir les suivantes »
    https://archive.org/details/critique-gestion-sanitaire_tribune_rogue-esr

    Critiques de la gestion dite sanitaire et libéralisme militant
    Publié le 15 janvier 2022 sur Paris-luttes.info

    "Derrière les critiques les plus « radicales » de la gestion de la crise sanitaire, faut-il entendre que « la société, ça n’existe pas » ou la simple expression d’un déni ? Contre le laisser-faire sanitaire, avec ou sans vaccin, nous avons montré notre capacité à nous organiser ensemble et à nous protéger tou·tes.
    /.../ Car l’idée contre laquelle luttent désormais beaucoup de personnes qui furent des camarades, c’est celle de notre interdépendance. Du fait que nous ne pouvons pas faire des choix de vie sans les imposer à nos proches et moins proches. Et ça n’est pas ce mythe bien commode de la responsabilité de tuer un ours polaire quand on laisse la lumière allumée, c’est très concrètement que nous risquons d’infecter tel·le ami·e ou parent, tel·le inconnu·e avec qui nous n’avons partagé qu’un moment anonyme. /.../
    Lire la suite : https://paris-luttes.info/critiques-de-la-gestion-dite-15618 / archive

    [Tribune & appel à signature] Un arsenal sanitaire large pour en finir avec la pandémie et prévenir les suivantes
    Le texte de cette tribune a été publié dans le quotidien Libération le 11 janvier 2022.
    Vous pouvez vous associer aux 1836 signataires en complétant le formulaire en bas du texte

    "Après deux ans de pandémie, il convient d’adopter la stratégie qui a fait ses preuves là où elle a été suivie, en se révélant plus efficace, moins favorable à l’apparition de souches mutantes, moins défavorable à l’économie et plus respectueuse de l’exercice des libertés. Cette stratégie se décline en six volets. /.../ Après bientôt deux ans de pandémie et à l’approche d’échéances électorales importantes, il est difficile de croire qu’un programme politique qui ne s’élèverait pas à la hauteur de ces constats en incluant des propositions sanitaires et scientifiques solides puisse avoir quoi que ce soit à dire sur l’avenir de notre société."
    Lire la suite et signer la tribune : https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir

    #audio/opensource_audio #Covid #Covid_19 #prevention #sante #vaccin #masque

  • Pr. Logos sur Twitter : "1/ Pourquoi, devant l’avalanche d’affirmations que nous vivons la dernière vague pandémique de la part de virologues confirmés, garder un certain doute ? Que veut dire « endémique », si ça ne veut pas dire bénin ? D’abord parce que la blague se répète et que le flou empêche d’agir." / Twitter
    https://twitter.com/Pr_Logos/status/1482697264988577793

    5/ Le mot #endémique ne dit en aucun cas qu’il n’y a plus que des pathologies bénignes, qu’on a affaire à des rhumes de saison. Il dit qu’on n’est plus dans un état de crise mais dans une gestion permanente du virus, pour les décennies à venir.

    • Le thread complet plus facile à lire comme d’hab :
      https://threadreaderapp.com/thread/1482697264988577793.html

      1/ Pourquoi, devant l’avalanche d’affirmations que nous vivons la dernière vague pandémique de la part de virologues confirmés, garder un certain doute ?
      Que veut dire « endémique », si ça ne veut pas dire bénin ?

      D’abord parce que la blague se répète et que le flou empêche d’agir.
      2/ Pour l’organisation mondiale de la santé, endémique signifie qu’on a une transmission continue du virus, pour des temps immémoriaux. On a perdu la partie, du point de vue Zero Covid : éliminer, non le virus mais le réservoir viral humain.
      https://www.who.int/publications/i/item/framework-for-verifying-elimination-of-measles-and-rubella

      3/ Ainsi, la peste est endémique à Madagascar, en République démocratique du Congo ainsi, dans une moindre mesure, que dans d’autres pays d’Europe de l’est et d’Afrique.
      https://sante.lefigaro.fr/sante/maladie/peste/sevit-elle

      4/ Le paludisme est endémique dans de nombreuses régions du globe où la population comporte un grand nombre de porteurs asymptomatiques.
      https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/maladies/maladies-infectieuses/article/paludisme

      5/ Le mot endémique ne dit en aucun cas qu’il n’y a plus que des pathologies bénignes, qu’on a affaire à des rhumes de saison. Il dit qu’on n’est plus dans un état de crise mais dans une gestion permanente du virus, pour les décennies à venir.
      6/ Si SARS-CoV-2 devient « endémique » alors il nous faut un arsenal sanitaire large pour limiter ses dégats.
      Dans le cas contraire, il nous faut un arsenal sanitaire large pour avoir une chance d’éliminer le réservoir viral humain.
      https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir

      7/ Pour Drosten, endémique suppose que toute la population ait été exposée au virus « naturellement », en étant protégée ou non par le vaccin de formes graves, avec l’espoir que les lymphocites T à mémoire produisent une immunisation de long terme.

      8/ Pour Kucharski, endémique suppose plutôt un certain degré de prédictibilité de l’évolution d’une année à l’autre des souches virales : c’est ce qui permet d’avoir un arsenal sanitaire ciblé, de vacciner les plus fragiles, etc. C’est assez convaincant.

      9/ Clairement, s’il existe une probabilité qu’une souche nouvelle disposant d’une grande virulence et d’un échappement immunitaire important (comme Omicron) apparaisse, alors nous ne sommes pas en phase endémique, puisqu’on n’a aucune idée de quand on pourra revivre pleinement.

      10/ Moins on investit dans un arsenal sanitaire large, pluriforme, et plus on a d’incertitude… Plus on repousse ce moment de revivre pleinement en sachant qu’il n’y aura plus de crise majeure saturant les hôpitaux (ce qui est le cas en ce moment même ! Omicron…)

      11/ Voilà un bon papier de phylodynamique virale, qui explique bien ce que pourrait être un critère correct de transition endémique, c’est-à-dire conduisant à la présence permanente du virus et à son évolution prévisible
      https://journals.plos.org/ploscompbiol/article?id=10.1371/journal.pcbi.1002947

      12/ Pour la grippe ou les rhumes de saison, l’arbre philogénétique ressemble à ça. Les virus en circulation donnent naissance à de nouveaux variants qui échappent à l’immunité antérieure contre l’infection, l’immunité se développe contre ces nouveaux variants, et ainsi de suite.

      13/ Visuellement, pour la grippe, voilà…

      Les variants sont toujours des mutants de la dernière souche hégémonique. Les possibilités d’évolution sont limitées et partiellement prédictibles (en intensité, pas dans le détail).

      14/ Coronavirus bénin.

      15/ H1N1

      16/ Ce n’est pas DU TOUT le schéma pour SARS-CoV-2
      Omicron n’est PAS une mutation de Delta, qui n’est PAS une mutation de Gamma, qui n’est pas une mutation de Beta, qui n’est pas une mutation de Alpha.
      Alpha est une mutation de Wuhan-1 (ouf).
      https://nextstrain.org/ncov/gisaid/global

      17/ La conséquence est fantastiquement simple : on ne peut prédire le prochain variant hégémonique en fonction du précédent, puisque les nouvelles souches virales proviennent de mutations silencieuses pendant un moment, survenue chez un patient immuno-déprimé par exemple.

      18/ Pour Omicron le premier ancêtre commun est excessivement lointain, ce qui prouve qu’on y est pas.

      19/ L’argument d’immunisation par les lymphocytes T à mémoire est donc un « argument », comme on en exposait à la machine à café autrefois. Ce n’est pas rien : c’est possible qu’on transite vers un arbre phylogénétique en arbre, maintenant. Ou pas.

      20/ Faire d’un argument exposable pour les besoins de la discussion aux collègues à la machine à café une phrase affirmative dans la presse est déjà douteux.

      Proposer de tout lâcher et identifier « endémique » et « bénin »="mild", c’est éthiquement inacceptable.

      21/ Je ne dis pas qu’une fois passée la nouvelle vague d’Omicron en mai, lié à la baisse d’immunisation, on ne commencera pas à voir l’échelle philogénétique ci-dessus, hein.

      Je ne dis rien puisque… c’est non prévisible.

      22/ Deuxième conclusion : cette question de l’endémicité n’est pas le problème. Endémique ou pas, il faut un investissement dans un arsenal sanitaire pérenne.
      Bordel.

      Nous sommes 1700, déjà. Et vous ?
      https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir

    • Ces mesures sont le premier pas indispensable vers la constitution d’un arsenal sanitaire large et pérenne, grâce auquel la France sera à même de faire face à d’éventuelles autres pandémies, sans payer le prix humain de SARS-CoV-2. La responsabilité du politique est de sortir des clivages simplistes et de l’attente de la disparition miraculeuse de la crise.

      Notre société a besoin d’en finir avec la litanie des demi-mesures et des annonces paternalistes, égrenées sans aucune visibilité ni logique au fil des vagues épidémiques. Renouer avec la joie de vivre et redonner du sens à notre existence commune implique d’apporter une réponse rationnelle et solidaire aux crises qui nous frappent.

      Après bientôt deux ans de pandémie et à l’approche d’échéances électorales importantes, il est difficile de croire qu’un programme politique qui ne s’élèverait pas à la hauteur de ces constats en incluant des propositions sanitaires et scientifiques solides puisse avoir quoi que ce soit à dire sur l’avenir de notre société.

      Parmi les plus de 1 200 signataires : Samuel Alizon Chercheuse en biologie de l’évolution, CNRS, Thomas Becking Postdoctorant CNRS en biologie, écologie, évolution à l’université de Poitiers, Sylvie Citerne Technicienne de laboratoire de recherche, Inrae, Jacques Haiech Professeur honoraire de biotechnologie, université de Strasbourg, Pascal Maillard Universitaire en littérature française, université de Strasbourg, Perola Milman Chercheuse en physique, CNRS, Pierre-Yves Modicom Universitaire en linguistique, université Bordeaux-Montaigne, Laure Saint-Raymond Professeure de mathématiques, Institut des Hautes études scientifiques, Johanna Siméant-Germanos Professeure, science politique, Ecole normale supérieure de Paris, Anne-Soisig Steunou Chercheuse en microbiologie, I2BC, CNRS…

      La liste complète : https://rogueesr.fr/en_finir_et_prevenir soutenue également par le Mouvement international d’universitaires et de chercheurs qui porte les mêmes revendications.

    • il est logique qu’avec tous ces acteurs qui se sont confortés et cramés à dire nawak (des plateaux télé à l’académie de médecine, en passant par le gouvernement), d’autres apparaissent. Enfin ! 50 000 agents de santé (et pas doctolib), ça aurait changé la donne dans tous les domaines, vaccination comprise. On le sait. Et le Vietnam et le Kerala l’ont à nouveau démontré dès le printemps 2020. (marrant de voir que le recours à l’emploi précaire a mieux marché là bas qu’ici, pour ce qui est des besoins de la population).

      combien de temps faut-il pour sortir du bois ? faire un appel ? dire quelque chose collectivement (puisse le Mélanchon être contraint de suivre (malgré le vaccin), comme les signataires y invitent ; Pécresse à déjà joué à « je distribue des masques », tout ce qui peut accroitre la concurrence entre politiques sur ces questions sera bienvenu.

      #vaccination_universelle #tester-tracer_isoler #FFP2 #agents_de_santé ou #arpenteurs_de_santé #aération #filtres_Hepa #UV-C #réduction_des_risques